Alors que la France s’enfonce dans une torpeur pré-estival, le futur candidat à l'EQE
a l'esprit, au moins en partie, tourné vers février 2016.
Les températures et la
série de week-ends prolongées pourraient donner un avant goût de
l'été, mais la sortie de l'édition mise à jour de la CBE
commentée de G.Baque, les nouvelles moutures des livres de Delta
Patent et l'article récent du JO OEB 2015, A39 sur les formations
dispensées par le CEIPI pour l'EQE renvoient inévitablement vers
l'échéance à venir.
Il va bien falloir s'y
mettre et, vu la taille de la tâche, le plus tôt sera le mieux.
Mais, à la pensée de sacrifier ces longues soirées à profiter de
la chaleur revenue pour se plonger dans l'aridité des textes
juridiques la volonté se rebelle. C'est comme devoir se lever dans
une pièce glacée alors que l'on est si bien sous la couette. On en
vient à envier ces véritables passionnés, stakhanovistes du droit
européen, qui respirent, boivent et mangent CBE, pour qui tout cela
ne doit sembler qu'une formalité. Mais à l'heure où l'échéance
est encore trop lointaine pour que la pression ne laisse d'autre
choix que de s'y mettre, je tarde à sacrifier toutes ces autres
choses que j'aime faire.
Et pourtant, il va bien
falloir mettre un terme au charme de ces après-midi sans fin...
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